Les enfants soldats, un danger social alerte la CNDDR
Plus de 400 enfants ont été recrutés par les gangs dans la région métropolitaine de Port-au-Prince, révèle le porte parole de la Commission Nationale de Désarmement Démobilisation et Réinsertion (CNDDR). M. Jean Rebel Dorcenat tire la sonnette d’alarme sur les enfants soldats qui constituent une épée de Damoclès pour la société.
Même si on tue des chefs de gangs la situation pourrait devenir pire si les enfants défavorisés ne sont pas récupérés.
M. Dorcenat indique que plus de 800 stations de motos taxis sont en contact avec les gangs qui peuvent ainsi contrôler une grande partie de la région métropolitaine.
Intervenant à l’émission Le Point, de Télé Métropole, M. Dorcenat s’est refusé à communiquer sur les personnes impliquées dans le trafic d’armes et de munitions. Il souligne que les aautorités gouvernementales disposent d’informations précises sur les trafiquants. Il faut se demander pourquoi aucune action n’a été entreprise, a t-il expliqué.
Ce gouvernement n’a apporté aucun support à la commission se désole M. Dorcenat.
Et pourtant cette commissionn d’État disposent d’informations sensibles sur le fonctionnement des gangs . Des rapports sont disponibles depuis plusieurs années.
M. Dorcena déclare que les membres de la commission ont été l’objet de menaces de la part des trafiquants d’armes.
De plus il assure qu’il existe des conpmiicités entre les gangs et des résidents des zones envayies.
De l’avis de M. Dorcenant c’est le mépris des autorités gouvernementales qui a empêché à la CNDDR de réaliser des négociations avec les chefs de gang.
En outre il exhorte les gangs à observer une trêve et soumettre un cahier de charges au gouvernement.
Il soutient que la trêve sera bénéfique pour le pays puisque ce sont des haïtiens qui tuent leur frères.
LLM / radio Métropole Haïti
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