Accusé de  » mauvaise gestion financière et de harcèlement sexuel « , un évêque américain défroqué par le Pape François

Un évêque américain défroqué par le Pape pour « harcèlement sexuel sur des adultes et de mauvaise gestion financière ». Les documents du Vatican font état de corruption sexuelle et financière commise par WV Bp. Michael Bransfield.

Décidément, sauf en Haïti, le pays le plus pauvre et l’un des plus corrompus de la planète où des accusés de crimes financiers, de détournements de fonds, de dilapidation des fonds de Petro Caribe, auteurs ou co-auteurs de massacre La Saline… continuent de participer aux grandes décisions entravant le développement de cette nation ou l’enfonçant davantage dans un « shithole« .
Aux Etats-Unis, un an après l’exclusion de Theodore McCarrick du collège des cardinaux, le Saint-Siège poursuit sa ligne de fermeté vis-à-vis de l’épiscopat américain. Mgr Bransfield, qui a démissionné en septembre 2018, a désormais l’interdiction de participer à toute liturgie publique
Selon le site www.churchmilitant.com/news, « lévêque homosexuel a vécu somptueusement et dépensé des millions en dépenses personnelles« .

Le Pape François confirme sa ligne de fermeté vis-à-vis des évêques accusés de harcèlement sexuel. La nonciature apostolique aux États-Unis a diffusé un communiqué rendant publiques les sanctions imposées par le Pape François à l’évêque émérite de Weeling-Charleston, Mgr Michael Bransfield, qui avait démissionné le 13 septembre 2018. Il n’était pas accusé de pédophilie, mais de harcèlement sexuel sur des adultes et de mauvaise gestion financière.

Interdiction de résider dans le diocèse de Weeling-Charleston

Mgr Michael Bransfield a désormais l’interdiction de résider dans son ancien diocèse, de participer à des célébrations liturgiques publiques, où qu’il soit, et enfin il devra «s’amender publiquement pour le mal qu’il a causé».

C’est le futur évêque de ce diocèse de Virginie occidentale qui devra décider concrètement du type d’actions que pourrait mener son prédécesseur pour réparer ses fautes, en coordination avec le Saint-Siège.

Pour le moment, le diocèse n’a plus de titulaire mais un simple administrateur apostolique en la personne de Mgr William Lori, l’archevêque de Philadelphie, qui était chargé de l’enquête.