« L’attentat de Moscou ne dit rien du Tadjikistan mais beaucoup de la Russie »

Les facteurs explicatifs de l’attentat du 22 mars à Moscou sont moins à chercher du côté de la mouvance islamiste d’Asie centrale, qui a revendiqué l’attaque, que du côté de facteurs structurels internes à la Russie de Vladimir Poutine, estiment, dans une tribune au « Monde », l’ancienne diplomate Marie Dumoulin et le politiste Olivier Ferrando.

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